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Maux à Mots des maux mis en mots....
Mon approche est profondément
"humaniste": centrée sur
la Personne et la Relation (besoins, rythme,
ressenti, émotions, comportements, interactions).
Ma pratique est également
"intégrative"
: utilisant de multiples "outils" et des
approches différentes dans une même démarche issue
d'une formation tout autant théorique,
pratique que personnelle (voir "Ma
boite à outils" dans "Qui-suis-je?").
Par ailleurs, j'adapte mon approche en fonction des
besoins et objectifs des personnes que je reçois
mais aussi intègre en complémentarité de l'approche
conventionnelle psychothérapique/coaching, les "dimensions" corps, émotions,
environnement, hygiène de vie... Ainsi, si cela
répond à vos besoins et votre demande, je peux vous
interroger et vous conseiller sur votre
alimentation, nutrithérapie (compléments
alimentaires), hygiène et rythme de vie...
Je travaille toujours avec respect, bienveillance et dans un
esprit d'ouverture,
refusant de m'enfermer dans une pensée unique et
tout
"dogmatisme".
Voir également
Qui suis-je?
"Psychopraticien", mais qu'est-ce donc?
Un psychopraticien est une
personne qui pratique la psychothérapie à titre
professionnel. Le
terme « psychopraticien » est un nom de métier qui
succède à l’ancienne appellation « psychothérapeute
» avant que celle-ci ne soit devenue un titre
réservé (aux psychologues, médecins et
psychanalystes). Le
mot « psychothérapeute » est un titre (non une
profession mais uniquement un titre) dont l’usage
est réglementé.
C’est une profession libre, mais il est
indispensable pour pouvoir l’exercer correctement
d’avoir une triple formation théorique, pratique, et
personnelle.
Les psychopraticiens certifiés sont diplômés des
fédérations ou syndicats suivants :
Fédérations
Syndicats
-
Psy en Mouvement
Psychopraticien, une profession libre et sérieuse… Le
psychopraticien a la liberté d’exercice de son
métier : il n’appartient à personne et n’est réservé
à aucune corporation. C’est indispensable pour
garder la variété, la richesse et la possibilité
d’évolution de la psychothérapie.
Est-ce à dire que n’importe qui peut, du jour au
lendemain, s’installer comme psychopraticien?
Légalement oui, mais en pratique, évidemment non ! Pour
être un bon psychopraticien professionnel reconnu
par ses pairs, il est indispensable d’avoir une
solide connaissance en psychologie, d’avoir appris
la pratique d’une ou (de préférence) de plusieurs
méthodes thérapeutiques et d’avoir pris le temps de
travailler sur sa propre personne. De même le début
de la pratique doit être encadré par d’autres
psychopraticiens expérimentés.
Méthode alternative aux soins psychologiques
traditionnels permettant d'amener les patients vers
une résolution rapide et durable de leurs problèmes. La
thérapie brève regroupe différents
courants/approches comme l'Hypnose et la Programmation Neuro-Linguistique (PNL). Ses
méthodes travaillent sur et avec la personne,
prenant en compte ses ressources naturelles et
capacités à changer. Elle
est orientée vers les Solutions et contourne l'étape
de compréhension du problème en considérant qu'il
n'est pas nécessaire de comprendre un problème pour
le résoudre. Elle tire son incroyable efficacité
d'une utilisation stratégique du langage et
potentialise l'inconscient du client en contournant
les limites de son esprit conscient (forme d'hypnose
sans hypnose) C’est
une thérapie de troisième génération !
Les trois âges de la thérapie :
- Dans un premier temps, il y a eu
la psychanalyse où le thérapeute
s'intéressait au passé de la personne.
L'hypothèse était qu'en trouvant les
causes historiques du problème actuel,
celui-ci disparaîtrait.
- Dans un deuxième temps, le
thérapeute s'intéresse moins au passé.
Il cherche à résoudre le problème
actuel, ici et maintenant, dans les
données de la situation présente. Ce
sont toutes les thérapies humanistes et
le problem-solving de Haley.
- Dans les thérapies de troisième
génération, le problème est moins
important que la solution à venir. Le
thérapeute ne se focalise plus sur le
contenu du problème, mais sur les
solutions, les ressources du patient.
PNL ( Programmation
NeuroLinguistique)
Origines La
PNL est née dans les années 70 du travail de deux
personnes: John Grinder et Richard Banbler,
respectivement linguiste et informaticien mais
également tous les 2 docteurs en Psychologie.
Leur objectif n'était pas de développer une
théorie, il en existait déjà de nombreuses, mais
plutôt de créer un modèle efficace. La
PNL à l'origine a modélisé trois praticiens ayant
atteint l'excellence dans leur domaine: - Fritz Perls:
neuropsychiatre et psychanalyste qui créa la
gestalt-thérapie. Ils
pensent que les personnes expertes dans leur domaine
ont développé un savoir-faire et un savoir-être qui
explique leur excellence, et ce le plus souvent de
manière inconsciente. Ainsi
l’idée est de créer un modèle transposable,
reproductible : la stratégie
Pourquoi ce nom : Programmation Neuro Linguistique ?
Programmation : parce que depuis notre plus
tendre enfance, nous nous programmons, nous
apprenons des choses, des manières de penser, de
sentir, de ressentir et de nous comporter. Si nous
faisons l'analogie avec l'informatique, nous
possédons tous le même "hardware"(matériel)
: notre
cerveau.
Neuro : parce que cette capacité
d'apprentissage, cette capacité à mettre en place
des manières de penser, de ressentir et d'agir
repose sur le fonctionnement de notre système
nerveux. C'est lui en effet, qui grâce à nos cinq
sens perçoit l'environnement, le monde dans lequel
nous vivons, interprète, code et transmet les
messages de tous ordres. les techniques de la PNL
agissent directement sur cette organisation
neurologique.
Linguistique : parce que c'est le langage qui
structure et reflète la façon dont nous pensons. Il
est le véhicule de nos expériences, de nos
perceptions et de nos représentations du monde. La
PNL reprend souvent cette phrase d'Alfred Korzybski :
"La carte n'est pas le territoire qu'elle
représente". On se fabrique une représentation
subjective de la réalité et nous vivons en
fonction de cette représentation. La
PNL est aussi, et avant tout, un état d'esprit
reposant sur une philosophie pragmatique des
POTENTIALITES de l'être humain.
Les 7 grands principes de
la PNL - La carte
n'est pas le territoire - Derrière
tout comportement, il y a une intention positive - Le
comportement d'une personne est le meilleur choix
qu'elle a à sa disposition à un moment donné - Nous avons
en nous-mêmes les ressources qui sont necessaires - Si une
personne possède une capacité ou une ressources
intérieures, toute autre personne peut l'acquérir - Il n'y a pas
d'échec, seulement des feed-back (rétroaction) - Le sens de
notre communication est dans a réponse que nous
recevons - L'esprit et
le corps sont des aspects du même système
cybernétique (interactions) - On ne peut
pas, ne pas communiquer
Premières traces
Il y a déjà plus de 6000 ans, en Mésopotamie,
où les sumériens pratiquaient déjà l’accompagnement
en paroles. Un manuscrit cunéiforme décrit des
guérisons obtenues grâce aux Etats Modifiés de
Conscience. Les 3 états de transe hypnotiques
redécouverts au 19ème siècles par Charcot y sont
même déjà expliqués !
3000 ans après, en Égypte sous Ramsès II (
-1304/-1213), 20ème dynastie… Nous avons la
description d’une séance “d’hypnose”, sur une stèle
découverte par Musès en 1972.
Qu’est ce que l’hypnose ?
Loin de l'hypnose "spectacle" de la télévision qui
nous trompe sur sa vraie nature, l’hypnose est avant tout un état naturel, que tout
le monde traverse plusieurs fois par jour, comme
quand on est « dans la lune » ou plongé dans un
programme télévisuel ou quand on écoute une musique,
ou bien lorsqu’on conduit en mode automatique…
L’hypnose est une voie d’accès à un état modifié de
conscience. Si celui-ci se caractérise par des
changements physiques concrets et mesurables, il est
vécu et perçu de façon différente par chaque
personne qui en fait l’expérience. Les phénomènes
les plus courants sont un accroissement de la
créativité, l’apparition de sensations spécifiques,
et surtout, une possibilité d’accès à des phénomènes
sous-jacents, ou inconscients.
L'hypnose traditionnelle
L'hypnose traditionnelle est basée sur le phénomène
de suggestion et de suggestibilité directe ! Le
risque majeur de cette hypnose traditionnelle est
qu'elle introduit des suggestions et des modes de
comportements extérieurs au sujet, qui n'entrent pas
dans son "répertoire de vie " habituel, et peut
alors entrainer des conflits intra-psychiques graves
: le sujet ne reconnaît pas dans cette suggestion
extérieure à lui-même le produit de ses propres
capacités.
Au jour d'aujourd'hui,
l'hypnose traditionnelle n'est quasiment plus
utilisée!
L'hypnose Ericksonienne
L'hypnose Ericksonienne, du nom de son créateur:
Milton Erickson (1901-1980) est fondamentalement
différente: la suggestion est bien moins directive. Le
patient, pendant son travail en hypnose, est
accompagné par le thérapeute, qui au cours d'une
séance ou
simple conversation, lui permet d'accéder, aux
ressources de son inconscient : le
sujet est totalement respecté dans sa structure
psychique, et il trouve, lui-même, la réponse à
son problème, dans la gamme de ses capacités
personnelles.
L'Hypnose Ericksonienne est totalement respectueuse
de l'intégralité du patient, elle est compatible
avec ses propres valeurs : elle respecte totalement
l'écologie du sujet.
Nouvelle Hypnose
C'est l'utilisation de l'hypnose dans un esprit plus
large et qui fait évoluer les outils mis au point
par Erickson pour les adapter au développement
personnel, elle prend naissance avec Daniel L. Araoz,
célèbre sexologue et hypnothérapeute.
Hypnose Transpersonnelle
"Reprise par Oivier Lockert sous le terme Hypnose
Humaniste (2001)"
L'hypnose Transpersonnelle est un voie de
connaissance de l'être humain qui intègre à la fois
les dimensions spirituelle, émotionnelle,
corporelle, cognitive et créatrice. Se
plaçant aux antipodes des formes connues d’hypnose,
elle revient aux sources millénaires des premiers
thérapeutes et aide la personne à se reconnecter à
elle-même comme aux courants naturels de la Vie. Les
inductions hypnotiques, dites “en ouverture”, sont
“inversées” – c’est-à-dire qu’elles tendent à
modifier l’Etat Ordinaire de Conscience de la
personne par augmentation de la conscience, plutôt
que par diminution de la conscience – ce qui permet
à la personne d’accéder elle-même à son Inconscient.
Le thérapeute n’est alors plus qu’un guide, une main
secourable sur le chemin personnel de la guérison. Questions – réponses - En état hypnotique,
peut-on vous "forcer la main" ? Est-ce que l'on
garde le contrôle de soi ? Vous ne ferez jamais ce qui est
contraire à vos valeurs, à votre morale! Et malgré
que vous soyez en état de conscience modifié (entre
veille et sommeil) vous garderez le contrôle de
vous-même. En effet, bien que cet état
augmente la "perméabilité" de l'inconscient et la
disponibilité aux suggestions du thérapeute, vous
restez maître de la situation en étant libre de
stopper le déroulement de la séance. - Peut-on s'endormir
pendant une séance ? L'état hypnotique n'est pas
l'état de sommeil mais un état proche du sommeil.
Pour cette raison, si la détente induite par
l'Hypno-Relaxation est très profonde, ou si vous
êtes très fatigué(e), il est possible de basculer
dans de courtes périodes de sommeil au cours d'une
séance. Mais rassurez-vous, le thérapeute saura vous
maintenir en état hypnotique. - Quelles sont les
contre-indications de l'Hypnose ?
La thérapie brève ne se
substitue à aucun avis, suivi ou traitement médical
ou paramédical.
Les
séances Les séances ont lieu
au cabinet ou au domicile du client Durée: 45mn à 1h30 (1h30 à 2h,
la première séance)
Tarifs
Déterminé avec le thérapeute en fonction de
plusieurs paramètres prenant en compte les besoins
et possibilités du patient. En
moyenne, il faut compter 45 euros par séance (50
euros la première séance)
mais je peux prendre en compte les moyens de mon client si celui-ci en formule la demande...
car l'argent ne doit jamais être un frein au travail
sur soi et à la relation d'aide! Par
téléphone, un règlement forfaitaire de 35 euros par
heure sera demandé, dont 1 heure payable à l'avance Pour
les séances à domicile une majoration de 50 centimes
/ kilomètre, aller/retour est demandé |
